« Au début, on commence par des cours de formation générale. On a de la chimie et de la biologie qui est plus appliquée à l’inhalothérapie, mais, quand même, il faut savoir comment un corps humain fonctionne avant de s’embarquer dans des cours un peu plus spécifiques. Ensuite, on suit des cours sur la ventilation mécanique, la pédiatrie, la néonatalogie. On a même des cours sur l’anesthésie, parce qu’il faut savoir que l’inhalothérapeute est appelé à travailler dans beaucoup de secteurs d’activités. On a aussi des cours sur la fonction respiratoire, qui est aussi un autre secteur d’activité dans lequel on va travailler. Donc, c’est très diversifié. Ce n’est pas routinier, c’est vraiment le fun! »

«La profession que je veux faire est très humble. Il faut la faire avec humilité parce qu’on est là pour des familles qui sont dans le besoin. Quand elles viennent nous voir, elles n’ont pas le choix de nous voir. C’est donc important d’être là pour les écouter, les accompagner, puis traiter la personne qu’elles ont perdue avec le plus grand des respects. Je pense que c’est ça le plus important dans notre métier. Ça va être d’accompagner la famille. »